#norman bruning
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ZEIT (2022) «Zeit isn’t about getting older, so much as it’s a contemplation of time itself. The idea isn’t that things are ending. Rather, that things progress through the river of time and there is no ending, just different stages», director Robert Gwisdek explained to Metal Hammer. Gwisdek and Flake Lorenz are friends. That’s how he became aware that directors were invited to send in ideas for video concepts for Rammstein’s new album. «I wrote a page full of impossible visions centred around the theme of time», he said. The band liked it. «Originally the concept was that I’d de-age the band so they’d get younger and younger. They were really on board, but I’ve never really liked CGI or looked into it, so when it actually came to producing it I found out it was insanely expensive to do something like that.» Instead, Gwisdek looked to sand. 40 tonnes of it was put into an unheated hall in sub-zero temperatures, and five people had to rake it almost continuously to make it dry enough for it to trickle. Using pneumatic funnels, they created a sand jet, and the band members got to experience plenty of it from the moment they walked on set and Gwisdek had a tonne of it poured over them in the first shot. «The shots in the B-part of the chorus, where their heads are sticking out of flowing sand, are actual shots - no CGI, no green screen. That takes trust», says Gwisdek. The sand sculpture was not CGI either, but made by master sand carver Baldrick Buckle. Gwisdek found that Rammstein were a delight to work with. «They aren’t messing around, acting like rock stars and turning up late. They’re gentlemen to each and every person they deal with,» he said. He got to see just how determined they were when the two guitarists got injured, but still finished the shoot with several days to go. «I was set to jump in from three metres high. Everyone had jumped down to kind of film where we were going down under, and I was jumping on my other guitar player's ass», Richard Kruspe said to Chaoszine, and revealed that Paul Landers's 'ass of steel' had injured him pretty badly. «My foot is destroyed.» 📷: Jens Koch @jenskochphoto, Norman Brüning
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#rammstein#till lindemann#flake lorenz#paul landers#christoph schneider#richard kruspe#oliver riedel#2022#20s#zeit#music video#jens koch#norman bruning
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Ye asked, ye received
Top: Henry, Joey, Jenna Middle: Seymour, Candra, Rea, Sammy Bottom: Norman, Wally
#art by rae#anon ask#henry stein#joey drew#jenna emerson#seymour brune#candra johnston#rea ramírez#sammy lawrence#norman polk#wally franks#bendy and the kiddie machine#colored pencils#ask sillyvision
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SAVE THE QUEENS (préliens attendus)
résumé du lien / l’épiderme colle, les respirations se cherchent et s’emboîtent pour ne plus faire qu’un seul souffle saccadé. dans la pièce le silence peu à peu s’installe pour y régner. la môme se redresse doucement, ramène les draps défaits contre son épiderme lorsqu’elle sent un frisson la gagner. l’homme à ses côtés attrape une cancéreuse qu’il coince entre ses lèvres et d’un coup de flamme vient l’embraser. la fumée grisâtre se propage, l’odeur du tabac se mêle à celle du sexe qui emplissait la chambre d’hôtel qu’ils occupent depuis quelques heures déjà. le régulier demande pas le tarif, ça fait quelques mois qu’ils se côtoient. un coup par ci, un coup par là. « vous en auriez une pour moi ? » la nymphe demande. l’homme s’étouffe, pousse un grognement bougon. il tire une latte et colle sa clope dans le bec de la brune, étonnée. il n’a pas dit un mot il s’est contenté de se rhabiller. et c’est sans le moindre regard en arrière qu’il s’en est allé. [voir le scénario dans son intégralité] propositions d’avatars / jeffrey dean morgan (av. 3), cillian murphy, norman reedus, tom hardy (av. 1), charlie hunnam (av. 2).
crédit des avatars : waldosia.
résumé du lien / « les années passent et rien ne change. les années passent et vous n'êtes toujours pas là. en revanche, moi je suis encore là. devant votre pierre tombale, incapable d'aligner trois mots. incapable de coucher mes sentiments, mes émotions. je garde en dedans, je voile ce que je peux ressentir pour ne pas inquiéter abuela, pour ménager paloma. depuis le premier jour, j'ai fait de mon mieux pour les protéger, pour les aider. paloma ne s'en est toujours pas remise. elle continue de voir son psy deux à trois fois par semaine. elle fait des cauchemars horribles et elle passe ses nuits à pleurer si je la laisse dormir seule. » paloma est ta petite soeur. celle que tu chéris depuis que tu as posé les yeux sur elle à la maternité. elle est ton plus précieux trésor, celle pour qui tu serais prêt à faire n'importe quoi. plus encore depuis que vos parents ne sont plus là. tu voudrais pouvoir sécher ses larmes et lui éviter davantage de drames. parfois, elle a trop besoin de toi. parfois, elle te repousse de toutes ses forces. mais peu importe comment elle agit, tu seras toujours là. [voir le scénario dans son intégralité] propositions d’avatars / nailea devora, alisha boe, ashley sky (av. 2), bruna lirio (av. 1), camila mendes (av. 3), charlotte d'alessio, emma mackey, indyamarie jean, mimi elashiry, sarah jeffery, vanessa moe, vivi koenig.
crédit des avatars : waldosia.
#save the queens#save the queens rpg#savethequeens#STQ#rpg#forum rpg#recherche rpg#prélien#scenario#scenarii#pl#tom hardy#tom hardy avatars#charlie hunnam#charlie hunnam avatars#jeffrey dean morgan#jeffrey dean morgan avatars#bruna lirio#bruna lirio avatars#ashley sky#ashley sky avatars#camila mendes#camila mendes avatars
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playlist: bastard
I. egotistic by mamamoo
II. dirty dirty by charlotte cardin
III. le gang by bb brunes
IV. norman fucking rockwell by lana del rey
V. heavy metal heart by sky ferreira
VI. tony montana by agust d
( bonus : si j’étais un homme by chilla maybe ???????)
I don’t know if that’s what you had in mind but !!
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“Probably how Cyrus feels about Rowan being born – ready, glad, anxious, mildly terrified? It’s an institution that’s helped me for nearly a decade. But it’s also been hugely demanding. There’s nothing easy about this gig. We have to relocate as a family every year, often to faraway places. And she is a lot, this Carrie. To be in a state of perennial crisis is a lot. ”
– Danes on Homeland ending soon & her sons
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How old is eveyone
Oki so I have gotten a LOT of asks for this, so I’ll just put it here. From oldest to youngest:
Joey Drew - 47Norman Polk - 41Sammy Lawrence - 32Henry - 29Rea Ramírez - 28Jenna Emerson - 25Seymour Brune - 24Candra Johnston - 23Wally Franks - 18
-Mod Mama
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𝐒𝐮𝐧𝐬𝐡𝐢𝐧𝐞 𝐁𝐥𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐂𝐡𝐚𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞 𝐑𝐨𝐬𝐞'. Per la nostra cliente abbiamo optato per un Sunshine Rosè Brown: immerse tra ciocche brune, i colori dell’alba e del tramonto creano un contrasto intrigante e spiritoso che contribuisce a un look ricercato e contemporaneo. Per il taglio abbiamo optato per il cin bob, è senza dubbio un taglio capelli trasversale che sta bene a tutte e a tutte le età. Non è uno di quei tagli di capelli standard, ma si adatta al viso di ciascuna perciò diventa personalizzato fino a sentirlo davvero tuo. Ti aspettiamo in ☀️ “Compagnia della Bellezza di Francesco e Norman Zerbi”☀️ 📍Via Pietro Nenni 66 Polistena 🕑Dal Martedì al Sabato dalle 09.00 alle 18.30 ☎️0966 / 931531 #haircolorist #lorealitalia #inmanisicure #naturalwoman #newcollection #colore #sostenibile #erbetintorie #naturalsweeteners https://www.instagram.com/p/CBfOTopqXIX/?igshid=fuono0m1x71v
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/hot-hotte-selection-culture/
Hot dans la hotte : sélection culture
Noël s’approche à grands pas. Si vous manquez d’inspiration ou que vous cherchez le cadeau parfait pour un amateur de très beaux objets culturels, nous avons concocté pour vous une sélection aux petits oignons
Les films
Le grand oral de Brian De Palma
Pour peu qu’il soit bien disposé, personne n’a jamais mieux parlé des films de Brian DePalma que DePalma lui-même ! On se plongera donc avec délectation dans ce coffret hybride mêlant livre d’entretiens de 320 pages et six DVD pour les longues soirées d’hiver (Phantom of the Paradise, Furie, Pulsions, Blow Out, Body Double, Scarface) même si on les connaît déjà par cœur !
Brian De Palma (Carlotta), 69,99 €.
X.B.
Les années 40 d’Alfred Hitchcock revisitées
La collection Ultra Collector de Carlotta n’a jamais usurpé sa réputation et ce ne sera pas encore pour cette fois ! Au programme du “pavé“, quatre films charnière de la carrière du faussement débonnaire réalisateur (Rebecca, La Maison du docteur Edwardes, Les Enchaînés, Le Procès Parradine – tous restaurés pour l’occasion), des suppléments et un livre conséquent revenant sur les relations forcément compliquées entre un réalisateur et un producteur hauts en couleur…
Alfred Hitchcock, les années Selznick, (Carlotta), 99,99 €.
X.B.
Elvis for ever
Onze heures de film avec Elvis Presley, que demander de plus ? Regroupés dans ce coffret, huit longs métrages signés par une ribambelle de réalisateurs américains (George Sidney, Richard Thorpe, Norman Taurog) dont l’intérêt tient surtout dans la seule présence du King. Il y incarne un coureur automobile (À Plein Tube), un arnaqueur (Blondes, Brunes, Rousses),un ex-taulard (Le Rock du bagne) ou, ô surprise, un chanteur célèbre (Le Tombeur de ces demoiselles).
Elvis, coffret 8 DVD (Warner Bros), 24,99 €.
S.R.
Bonanza ressort les colts
Bon, là, on entre dans une autre dimension : 71 disques ! Certes, il fallait ça pour rassembler les plus de 200 épisodes de la série western des années 60, tous remasterisés numériquement à partir des bandes 35 mm de l’époque. La vie au ranch et la reconquête de l’Ouest en direct live, ou pas loin…
Bonanza, The Complete Seasons 1-8 (Revelation, import UK), 105 €.
S.R.
Tout sur Tim
Il a cette rare qualité de renouveler sans cesse son cinéma sans perdre son style si singulier. Ayant su manier fantastique, onirique et intime sans complexes et avec un ébouriffant sens de l’esthétique (souvent imité, rarement égalé), Tim Burton se retrouve aujourd’hui résumé en 19 films. Parmi nos préférés, les deux Batman, Mars Attacks!, Beetlejuice, Sleepy Hollow ou Frankenweenie. En bonus, un beau livre illustré.
Tim Burton Intégrale, co ret 19 DVD/ Blue-ray (Warner Bros), 139,99 € – 179,99 €.
S.R.
Les livres
Hendrix par le son et l’image
Certes, plus grand-chose à découvrir aujourd’hui de la vie du Voodoo Child pour remplir un nouveau livre. D’où la bonne idée des éditions E/P/A – derrière un titre que l’on prendra soin de vite oublier – de saupoudrer les pages du dernier ouvrage qui lui est consacré de photos et de reproductions diverses et variées.
Jimi Hendrix, le roi de la guitare électrique, Gillian G. Gaar (éditions E/P/A), 29,90 €.
X.B.
Michael Jackson, l’artiste dissocié
Parce que les gossips, les rumeurs et les scandales ont un peu à trop tendance à étouffer le talent musical dès qu’il s’agissait d’évoquer le cas Jackson, Olivier Cachin a décidé de revenir sur le parcours du King of Pop uniquement par le biais artistique et uniquement celui-ci. En bonus, le DVD de Moonwalker, seul “vrai” film de Bambi… Bonne pioche !
Michael Jackson, Métamorphoses musicales, Oliver Cachin (GM Éditions), 19,99 €.
X.B.
Paris fait du bruit !
En replongeant dans l’underground parisien, Pascal Pacaly nous fait revivre ces années de ferveur rock’n’roll qui a débuté dans les années 70. Après avoir ausculté la France entière dans son précédent ouvrage, La France est rock, l’auteur stéphanois s’est donc attardé sur la scène parisienne, celle qui avait redonné ses lettres de noblesse aux précurseurs punk, mais aussi et surtout à l’alternatif qui a explosé à la fin des années 80. Mieux, dans cet ouvrage en trois parties, il analyse aussi bien les groupes locaux – Washington Dead Cats ou Mass Hysteria sous forme de nouvelles ou d’interviews – que les grandes salles mythiques de Paname, du Gibus au Bus Palladium, en passant par Rock en Seine. Un must !
Paris Rock Underground, Pascal Pacaly (Black Out Éditions), 16 €.
M.L.
Françaises, Français ; Belges, Belges…
S’il est vrai que Desproges reste encore aujourd’hui la dernière référence en matière de phrases trop longues, digressions en tous genres, réquisitoires enflammés ou chroniques assassines ou absurdes, sa vie personnelle est, elle, totalement inconnue ou presque. La trajectoire de cet anticonformiste qui aurait préféré mourir que de se plier au politiquement correct est pourtant passionnante. Philippe Durant, connu pour ses biographies riches et documentées, s’est donc penché sur cet homme original et signe ici un document unique, référencé et donc, à lire.
Pierre Desproges, Philippe Durant (First Document), 19,95 €
B.B.
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En 20 films, et autant de chefs-d’œuvre, Joseph L. Mankiewicz s’est installé au panthéon des plus grands réalisateurs hollywoodiens. Après avoir été dialoguiste et producteur, il met en scène ses propres scénarios, écrits d’une plume vive et acérée. Il fait tourner les plus grands – Ava Gardner, Marlon Brando, Humphrey Bogart, Bette Davis, Henry Fonda… –, décortique les rapports humains et moque avec finesse les différences sociales. Mais surtout, de Madame Muir à la Comtesse aux pieds nus, d’Eve à Cléopâtre, il filme ses actrices, les femmes, la Femme, avec virtuosité et élégance, dans un style si parfait qu’il en devient invisible. [Murielle Joudet – La Cinémathèque française]
JOSEPH L. MANKIEWICZ
Frère cadet du célèbre scénariste Herman J. Mankiewicz (Citizen Kane, 1940), Joseph Leo Mankiewicz est né en 1909 en Pennsylvanie. Après un bref passage dans le journalisme, à Berlin en 1928, il put débuter assez facilement à Hollywood, où son frère était alors scénariste à la Paramount. Il commença par rédiger des intertitres pour des versions muettes de films parlants, ceux-ci ne pouvant passer dans nombre de salles qui n’étaient pas encore équipées pour le son. A partir de 1930, Joseph Mankiewicz écrivit quelques dialogues, notamment pour des films comiques interprétés par Jack Oakie, qui fut quelque temps vedette, avant de faire une longue carrière de second rôle amusant.
JOSEPH L. MANKIEWICZ (On set – The Honey Pot)
Scénariste et producteur
Peu après, le dialoguiste occasionnel, devenait scénariste complet, fonction qu’il tint avec un brio croissant jusqu’à 1935. De cette première période, plusieurs titres méritent d’être retenus, notamment Million Dollars Legs (1932) d’Eddie Cline, qui fut un des plus grands succès de W.C. Fields, Alice in Wonderland (Alice au pays des merveilles, 1933) de Norman McLeod ou I Live My Life (Vivre sa vie, 1935) de W.S. Van Dyke, sans oublier les dialogues d’un chef-d’œuvre de King Vidor, Our Daily Bread (Notre pain quotidien, 1934). Pour ses débuts de scénariste à la MGM, en 1934, Mankiewicz commence par un coup de maître avec Un drame à Manhattan (Manhattan Melodroma) de Van Dyke qui décroche l’Oscar du meilleur scénario. En 1936, à peine âgé de vingt-sept ans, il devient producteur à la MGM et se voit confier tout de suite les plus importantes productions. La première : Fury (1936) de Fritz Lang, avec Spencer Tracy et Sylvia Sidney. Suivront, jusqu’en 1942, près d’une vingtaine de films, parmi lesquels d’intéressantes réalisations de Clarence Brown, Van Dyke, Cukor Philadelphia Story (Indiscrétions, 1940) et surtout de Frank Borzage : Mannequin (1938), Three Comrades (Trois Camarades, 1938) et Strange Cargo (Le Cargo maudit, 1940).
THE LATE GEORGE APLEY (Un mariage à Boston) -Joseph L. Mankiewicz (1947) – Ronald Colman, Peggy Cummins, Vanessa Brown
DRAGON WYCK (Dragonwyck) – Joseph L. Mankiewicz (1946) – Gene Tierney, Vincent Price, Walter Huston
SOMEWHERE IN THE NIGNT (Quelque part dans la nuit) – Joseph L. Mankiewicz (1946) – John Hodiak, Nancy Guild, Lloyd Nolan
ESCAPE (L’Évadé de Dartmoor) – Joseph L. Mankiewicz (1948) – Rex Harrison, Peggy Cummins
THE GOST AND Mrs. MUIR (L’Aventure de Mme Muir) – Joseph L. Mankiewicz (1947) – Gene Tierney, Rex Harrison, George Sanders
Apprentissage et Oscar
En 1943, il quitte la Metro pour passer à la Fox. Il y produit d’abord un film de John Stahl, un grand succès, The Keys of the Kingdom (Les Clés du royaume, 1943) d’après le roman de Cronin, qui impose Gregory Peck en vedette. Puis, en 1946, il réalise enfin sa première mise en scène, avec un film produit par Ernst Lubitsch, Dragonwyck (Le Château du dragon), dont il écrit lui-même le scénario. La façon dont il dirige Gene Tierney montre déjà quel grand directeur d’actrices sera Mankiewicz. Ce premier film et les quatre suivants constituent un peu ses années d’apprentissage de réalisateur. Des quatre films tournés en 1946- 1948, The Late George Apley (Un Mariage à Boston, 1946), The Ghost and Mrs. Muir (L’Aventure de Mme Muir, 1947), Somewhere in the Night (Quelque part dans la nuit, 1947) et Escape (L’Évadé de Dartmoor, 1948), le meilleur est certainement The Ghost and Mrs. Muir, délicieuse histoire de fantôme, où il retrouvait Gene Tierney, entre George Sanders et Rex Harrison qui deviendra un de ses interpr��tes favoris.
ON SET (Photo de tournage). Au centre, Joseph L. Mankiewicz dans ESCAPE (L’Évadé de Dartmoor), 1948
En 1948, Mankiewicz connaît son premier grand succès, comme metteur en scène, avec A Letter to Three Wives (Chaînes conjugales), pour lequel il obtient à la fois l’Oscar du meilleur scénario et celui de la meilleure mise en scène. En France, le film retient l’attention de la critique, mais ne connaît qu’un succès d’estime. Le suivant, House of Strangers (La Maison des étrangers, 1949), qui traitait des relations entre père et fils, sujet auquel Mankiewicz tenait, fut partout un échec, en dépit d’une remarquable interprétation d’Edward G. Robinson et d’un prix à Cannes en 1949, pour ce dernier. [La grande histoire illustrée du 7ème art – Editions Atlas – 1982]
ALL ABOUT EVE (Ève) – Joseph L. Mankiewicz (1950) – Bette Davis, Anne Baxter, George Sanders, Marilyn Monroe
NO WAY OUT (La porte s’ouvre) Joseph L. Mankiewicz (1950) – Richard Widmark, Linda Darnell, Sidney Poitier
HOUSE OF STRANGERS (La Maison des étrangers) Joseph L. Mankiewicz (1949) – Edward G. Robinson, Susan Hayward, Richard Conte
A LETTER TO THREE WIVES (Chaînes conjugales) -Joseph L. Mankiewicz (1949) – Jeanne Crain, Linda Darnell, Ann Sothern, Kirk Douglas
PEOPLE WILL TALK (On murmure dans la ville) – Joseph L. Mankiewicz, sorti en 1951) – Cary Grant, Jeanne Crain
Eve, Cicéron… et César
La revanche allait venir l’année suivante, non pas avec l’intéressant No Way Out (La porte s’ouvre, 1950), bien enlevé par un remarquable trio d’acteurs (Richard Widmark, Linda Darnell, Sidney Poitier), mais avec ce qui reste un des films les plus célèbres de son auteur, All About Eve (Eve, 1950). Cette fois, ce fut un triomphe mondial que vint de nouveau sanctionner un double Oscar (mise en scène et scénario). Sur un scénario partiellement original de Mankiewicz lui-même, il s’agissait d’une remarquable description des milieux de théâtre new-yorkais et d’une impitoyable peinture de caractère féminin, celui d’une ambitieuse avide de succès et dépourvue de scrupule. Cette œuvre sur le théâtre bénéficiait d’une interprétation exceptionnelle avec Anne Baxter (Eve), Bette Davis et George Sanders. A leurs côtés, on remarquait dans un petit rôle, une débutante qui douze ans plus tard serait morte et immortelle, Marilyn Monroe. Aujourd’hui encore, ce film reste un des chefs-d’œuvre de Mankiewicz.
Marilyn Monroe et Joseph L. Mankiewicz sur le tournage de ALL ABOUT EVE (1950)
Après l’injustement méconnu People Will Talk (On murmure dans la ville, 1951), dans lequel Cary Grant incarnait un étonnant docteur Praetorius, nouveau grand succès pour le cinéaste avec Five Fingers (L’Affaire Cicéron, 1952), le seul chef-d’œuvre du film d’espionnage, ainsi que l’a qualifié Bertrand Tavernier. Il faut dire que cet épisode authentique de la dernière guerre mondiale a l’air inventé par le plus imaginatif et le plus débridé des romanciers du genre. L’atmosphère d’Ankara pendant la guerre, avec ses complots d’ambassade dont Von Papen, ambassadeur allemand, croit tirer les ficelles alors qu’il se fait manœuvrer par plus fort que lui, a particulièrement bien inspiré Mankiewicz dont la mise en scène ne fut jamais si nerveuse et efficace. La maîtrise du récit est absolue, jusqu’à l’éclat de rire final par lequel cette histoire absurde et vraie se résout dans un climat d’humour noir que le meilleur Huston n’a jamais égalé.
Joseph L. Mankiewicz sur le tournage de FIVE FINGERS avec James Mason et Danielle Darrieux
Après Cicéron, César… Il s’agit bien, cette fois, d’une histoire romaine, avec l’adaptation du chef-d’œuvre de Shakespeare, Julius Caesar (Jules César, 1953). Il suffit de dire que de tous les films inspirés par Shakespeare (et ils sont innombrables) celui-ci reste, avec ceux de Welles, un des meilleurs, grâce à des interprètes exceptionnels, de Marlon Brando (Marc Antoine), à John Gielgud (Cassius) et de James Mason (Brutus) à Louis Calhern (César). Et puis, dès qu’il s’agit de théâtre, Mankiewicz se retrouve à son affaire. On remarque que le film est produit par John Houseman qui avait vécu en 1937 l’aventure du “jules César” monté en chemises brunes par Orson Welles au Mercury Theatre.
THE QUIET AMERICAN (Un Américain bien tranquille) Joseph L. Mankiewicz (1958) – Audie Murphy, Michael Redgrave, Claude Dauphin
FIVE FINGERS (L’Affaire Cicéron) – Joseph L. Mankiewicz (1952) – James Mason et Danielle Darrieux
THE BAREFOOT CONTESSA (La Comtesse aux pieds nus) – Joseph L. Mankiewicz (1954) – Humphrey Bogart, Ava Gardner, Edmond O’Brien
GUYS AND DOLLS (Blanches colombes et vilains messieurs) – L. Mankiewicz (1955) – Marlon Brando, Jean Simmons, Frank Sinatra
JULIUS CAESAR (Jules César) – Joseph L. Mankiewicz, d’après la pièce de William Shakespeare, sorti en 1953) – Marlon Brando, James Mason, John Gielgud, Deborah Kerr
Tous amoureux de la comtesse !
Mankiewicz, la même année, redevient son propre producteur et fonde la Figaro Inc., compagnie qui produit en 1954 The Barefoot Contessa (La Comtesse aux pieds nus). De Truffaut à Chabrol et Domarchi, toute une génération de cinéphiles fut amoureuse de la fameuse comtesse, et de sa superbe interprète, une Ava Gardner éblouissante, autant que dans Pandora and the Flying Dutchman (Pandora, 1951), et dans un film d’une tout autre qualité. Nulle œuvre, sans doute, n’a fait plus que celle-là pour la réputation de Mankiewicz, auteur complet de cette belle histoire qu’il a su raconter avec la maîtrise incomparable qui est dorénavant la sienne. Fourvoyée par mégarde dans la comédie musicale, avec Guys and Dolls (Blanches Colombes et vilains messieurs, 1955), cette maîtrise nous vaudra sans tarder un nouveau chef-d’œuvre, avec The Quiet American (Un Américain bien tranquille, 1957), d’après Graham Greene. Ce film sur la guerre du Viêt-nam (déjà) frappe par son intelligence extraordinaire et sa rigueur, et, sur le plan de la réalité des choses, il laisse loin derrière lui ceux de Coppola et de Cimino. En quelques plans limpides, Mankiewicz nous montre le Saigon de la guerre, comme nous ne le reverrons jamais, et son art est ici à son sommet.
CLEOPATRA (Cléopâtre) – Joseph L. Mankiewicz (1963) – Elizabeth Taylor, Richard Burton, Rex Harrison
THERE WAS A CROOKED MAN (Le Reptile) – Joseph L. Mankiewicz (1970) – Kirk Douglas Henry Fonda, Hume Cronyn
SLEUTH (Le Limier) – Joseph L. Mankiewicz adapté de la pièce d’Anthony Shaffer (aussi scénariste du film), (1972) – Laurence Olivier, Michael Caine
SUDDENLY LAST SUMMER (Soudain l’été dernier) – Joseph L. Mankiewicz (1959) d’après la pièce de Tennessee Williams – Elizabeth Taylor, Katharine Hepburn, Montgomery Clift
THE HONEY POT (Guêpier pour trois abeilles) Joseph L. Mankiewicz (1966) – Rex Harrison, Susan Hayward
Soudain… Cléopâtre
Retour au théâtre avec Suddenly, Last Summer (Soudain l’été dernier, 1959), pièce tarabiscotée comme toutes celles de Tennessee Williams, mais dont Mankiewicz, par une mise en scène au scalpel, va réussir à faire un grand film, avec le concours de trois acteurs de génie (Hepburn, Taylor et Clift). Et puis avec de nouveau Elizabeth Taylor, c’est l’aventure démesurée de Cleopatra (Cléopâtre, 1961-1963). On a tout dit sur cette production insensée, les millions de dollars gaspillés (quarante environ), le scénario remanié par une dizaine de personnes (dont Lawrence Durrell), Mankiewicz remplaçant au pied levé Mamoulian, se brouillant avec Zanuck, puis rappelé par lui pour terminer le film, les caprices d’Elizabeth Taylor, son idylle tapageuse avec Richard Burton, un tournage de plus de deux ans réparti sur plusieurs pays (Italie, Espagne, Egypte, Angleterre), le montage modifié à la dernière minute après une mauvaise preview… Tout cela pour aboutir finalement à un très beau film, avec des parties magnifiques, mais qui sera un désastre financier pour la Fox. Mankiewicz, qui n’y est pour rien et n’a pas à rougir du film, même si ce n’est pas exactement le sien (on voit avec l’extraordinaire César de Rex Harrison, ce qu’il voulait en faire), aura bien du mal à s’en remettre.
ON SET (Photos de tournage) –
ON SET (Photos de tournage) –
ON SET (Photos de tournage) –
ON SET (Photos de tournage) –
ON SET (Photos de tournage) –
Mankiewicz devra attendre quatre ans avant de pouvoir faire un nouveau film, qui sera The Honey Pot (Guêpier pour trois abeilles, 1967), lointaine transposition de Volpone, écrite, produite et réalisée par lui-même. Malgré une nouvelle composition savoureuse de Rex Harrison, ce ne sera pas non plus un succès commercial. Nouveau délai de trois ans jusqu’au There Was a Crooked Man (Le Reptile, 1970), “curieux western au scénario subtilement élaboré” (Jean Tulard), avec Kirk Douglas et Henry Fonda. Et puis ce sera le dernier film, Sleuth (Le Limier, 1972), film-labyrinthe à la construction d’une extraordinaire subtilité, divertissement raffiné autant que brillant, et dans lequel Laurence Olivier et Michael Caine composaient un mémorable duo. Après cet ultime chef-d’œuvre, Mankiewicz se retire de l’industrie cinématographique, il meurt en 1993 à quelques jours de 84e anniversaire. [La grande histoire illustrée du 7ème art – Editions Atlas – 1982]
JOSEPH L. MANKIEWICZ
A voir également
DRAGONWYCK (Le Château du dragon) – Joseph L. Mankiewicz (1946) 1844. Miranda Wells (Gene Tierney) quitte sa famille du Connecticut pour rejoindre son riche cousin Nicholas Van Ryn (Vincent Price) qui vit avec sa femme dans la sombre demeure de Dragonwyck. Van Ryn traite ses métayers avec la dureté de ses ancêtres et souffre parallèlement du fait que sa femme, Johanna (Vivienne Osborne), a été incapable de lui donner un héritier mâle. Johanna tombe bientôt malade et meurt. Peu de temps après, Nicholas demande à Ephraim Wells (Walter Huston), le père de Miranda, la main de sa fille… (Lire la suite)
SOMEWHERE IN THE NIGHT (Quelque part dans la nuit) – Joseph L. Mankiewicz (1946) Réalisé par Joseph L. Mankiewicz, Somewhere in The Night (Quelque part dans la nuit) place la figure du détective privé dans le dispositif des films sur les amnésiques. Sa forme repose sur les transcriptions visuelles de l’angoisse d’un homme sans mémoire qui cherche l’individu susceptible de l’éclairer sur son passé, puis découvre avec stupeur que celui qu’il veut retrouver n’est autre que lui-même. Et qu’il est un détective privé qu’on soupçonne de vol et d’assassinat. (Lire la suite)
PEOPLE WILL TALK (On murmure dans la ville) – Joseph L. Mankiewicz (1951) Le docteur Elwell rêve de discréditer le séduisant docteur Noah Praetorius, médecin peu orthodoxe au passé riche en zones d’ombre. Praetorius, lui, se préoccupe surtout de Deborah Higgins, une étudiante enceinte et désespérée de l’être… Cary Grant a toujours dit que, de tous les films qu’il tourna, celui-ci était son préféré. C’est aussi sans doute le plus personnel de Mankiewicz : comment ne pas penser au cinéaste devant ce personnage de brillant médecin qui ne soigne que des femmes, estime que le meilleur des remèdes est le langage et que ses détracteurs prennent pour un charlatan verbeux… (Lire la suite)
GUYS AND DOLLS (Blanches colombes et vilains messieurs) – Joseph L. Mankiewicz (1955) A première vue, l’affiche de Guys and dolls (Blanches Colombes et Vilains Messieurs) a de quoi surprendre. Joseph Mankiewicz, le cinéaste psychologique de A Letter to three wives (Chaînes conjugales) et de The Barefoot contessa (La Comtesse aux pieds nus), dirigeant le “sauvage” Brando dans une comédie musicale ? Sans doute fallait-il l’audace – d’aucuns diront l’inconscience – du producteur Samuel Goldwyn pour s’y risquer. Certes, la présence dans le film de Jean Simmons et, surtout, du crooner Frank Sinatra, a de quoi rassurer les fans du genre – Vivian Blaine étant là quant à elle pour apporter au projet la caution de Broadway. (Lire la suite)
JOSEPH L. MANKIEWICZ
En 20 films, et autant de chefs-d'œuvre, Joseph L. Mankiewicz s'est installé au panthéon des plus grands réalisateurs hollywoodiens. Après avoir été dialoguiste et producteur, il met en scène ses propres scénarios, écrits d'une plume vive et acérée. Il fait tourner les plus grands – Ava Gardner, Marlon Brando, Humphrey Bogart, Bette Davis, Henry Fonda... –, décortique les rapports humains et moque avec finesse les différences sociales. Mais surtout, de Madame Muir à la Comtesse aux pieds nus, d'Eve à Cléopâtre, il filme ses actrices, les femmes, la Femme, avec virtuosité et élégance, dans un style si parfait qu'il en devient invisible. [Murielle Joudet - La Cinémathèque française] En 20 films, et autant de chefs-d'œuvre, Joseph L. Mankiewicz s'est installé au panthéon des plus grands réalisateurs hollywoodiens.
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Youtube : Sindy et Bilal Hassani chantent Diam’s pour lutter contre Marine Le Pen !
La chanteuse Sindy et le youtubeur Bilal Hassani font le buzz sur les réseaux sociaux grâce à deux reprises de Diam's... Dimanche soir à 20h, les Français ont découvert les deux candidats qui s’affronteront au second tour de l’élection présidentielle à savoir Marine Le Pen et Emmanuel Macron. Face à cette annonce, deux stars du web ont tenu à réagir sur les réseaux sociaux pour lutter contre le Front National. En effet, la chanteuse Sindy et le youtubeur Bilal Hassani ont tous les deux choisis des chansons de Diam’s pour faire passer un message à leurs abonnés.Tandis que la jolie brune a porté son choix sur "Ma France à moi", l’interprète de "Follow me" a, pour sa part, chanté le titre "Marine Le Pen". Deux textes forts, deux messages importants. Il appartient maintenant à chaque citoyen à voter en son âme et conscience le dimanche 7 mai. Sur les réseaux sociaux, les deux protagonistes ont reçu de nombreux messages de soutien malgré quelques détracteurs.Public.fr vous invite à découvrir les deux vidéos : Qu’en pensez-vous ? On attend vos commentaires.A VOIR : Présidentielle 2017 : "Sans moi le 7 mai", le mouvement qui pourrait faire basculer le second tour ! DM... Retrouvez cet article sur Public
Youtube : Andy fait un retour triomphal dans le Youtube Game !
Youtube : Norman balance sur la nouvelle génération du Youtube Game : "Tout le monde est devenu youtubeur !"
Youtube : Sextape, mariage, nudité, des youtubeurs sont prêts à tout pour gagner des abonnés !
Photos : Emmanuel Macron et Marine Le Pen présentent leurs affiches pour le second tour !
PewDiePie, le youtubeur star quitte... YouTube !
Dimanche soir à 20h, les Français ont découvert les deux candidats qui s’affronteront au second tour de l’élection présidentielle à savoir Marine Le Pen et Emmanuel Macron. Face à cette annonce, deux stars du web ont tenu à réagir sur les réseaux sociaux pour lutter contre le Front National. En effet, la chanteuse Sindy et le youtubeur Bilal Hassani ont tous les deux choisis des chansons de Diam’s pour faire passer un message à leurs abonnés.Tandis que la jolie brune a porté son choix sur "Ma France à moi", l’interprète de "Follow me" a, pour sa part, chanté le titre "Marine Le Pen". Deux textes forts, deux messages importants. Il appartient maintenant à chaque citoyen à voter en son âme et conscience le dimanche 7 mai. Sur les réseaux sociaux, les deux protagonistes ont reçu de nombreux messages de soutien malgré quelques détracteurs.Public.fr vous invite à découvrir les deux vidéos : Qu’en pensez-vous ? On attend vos commentaires.A VOIR : Présidentielle 2017 : "Sans moi le 7 mai", le mouvement qui pourrait faire basculer le second tour ! DM Plus d'images sur Public.fr !
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Texte 292 - fake Marilyn
Tara Subkoff Deepfake The Hole November 5th _ Pourquoi je me sens si bien parmi ces gens. Est-ce à cause de ce jeune rouquin à casquette qui semble sortir d’une peinture de Norman Rockwell. Ou cet autre jeune, brun, cheveux ébouriffés, skate au bras. Ou cette rouquine d’environ 22 ans, cheveux courts, mince, à grosses lunettes, aux Big mocassins blancs des années 60, qui semble sortir de chez pas où, pour aller je ne sais pas où, mais qui fait étape à la galerie The Hole comme elle l’avait programmé depuis son studio situé dans le quartier. Bowery! Ben, elle a l’air bien sympa, elle aussi. Et le jeune avec qui elle cause, stylé « rock », casquette posée sur sa touffe brune, je pourrais aller lui demander chais pas quoi. Tellement qu’il a l’air gentil, il ne me prendrait pas pour une débile malgré mon anglais de merde. Et ce trentenaire, plutôt petit, casquette de marin avec des strass, capuche du pull par dessus, il voit que je trouve ça chouette, il me sourit, je lui souris. J’aurais été en La Bambina on aurait fait un selfie, on aurait discuté de Los Angeles que je vais bientôt visiter, que dis-je, pénétrer! On aurait échanger nos idées et nos mails. Et ce monsieur d’environ 65 ans, qui passe à côté de la pianiste en montrant avec son tel SATIE écrit en gros alors que c’est du Debussy, Clair de Lune précisément. À chaque fois que je l’entends je pourrais crever sous la grande émotion, c’est ce son que je veux quand on m’enfournera, c’est sur ça que je je veux redevenir poussière. Mais tu vois, ce mec aussi il a l’air sympa même si il se goure il le fait humblement, simplement. Tout le monde diffuse des étoiles, des arc en ciel et des cœurs dans cette galerie. C’est une écurie de ce genre qu’il me faut. Chez Jeffrey Deitch c’est un peu cette ambiance aussi. Y’a bientôt un Opening ce sera l’occaz’ de comparer. C’est La Bambina qui vérifiera. Dans cette galerie la bienveillance prime. Ça fait du bien. De toutes façons, les New Yorkais sont bienveillants. J’aime être ici. Faut que je gagne du fric, parce qu’il est hors de question que je ne revinsse pas. Tara Subkoff, joyeuse en robe fluide rosée erre parmi les performeurs et les visiteurs avec sa petite fille, danseuse de claquettes. Gloire aux arts vivants! semble clamer Deepfake. Choper d’ici-delà des émotions qui nous appartiennent. Une Marilyn sublime qui fait face à un miroir déformant, me stimulera énormément. Je l’observerai comme pour trouver des réponses à mes nombreux questionnements? À quels moments la fake-Marilyn est-elle la plus proche de la vraie? Quand elle prend la pause pour être photographiée? Ou dans ces moments transitionnels entre ces différentes pauses? Nano secondes où tête baissée, les yeux regardant le sol, il semble possible de percer des mystères de Marilyn, de la performeuse et de moi-même l’ayant incarnée à Carcassonne, à Albi, à Art Basel Miami Beach, à Toulouse et ailleurs. Ne cesser de filmer la fake pour accéder à la vraie. Même parmi les gens, derrière un menton, un iPhone, un cou, un coude, une main, la capturer. Les autres, et cela ne concerne que moi, ont assez peu d’écho en moi, je raffole peu du cirque, j’apprécie de les voir bien sûr, mais ça ne me transcende pas, en comparaison à Marilyn. Qui me fait délirer total. L’étrange bruit que font les pas des performeurs sur le revêtement plastifié argenté, ça fait comme un bruitage drôle qui ajoute au « fake ». Y’a un décalage sonore : le pas est fait, le bruit vient après, c’est la bulle d’air qui pète en se recréant après avoir été écrasée par les poids des corps se déplaçant dans l’espace. Ça c’est top. Genre le détail qui tue.
#deepfake#tarasubkoff#thehole#bowery#nyc#performa#performa19#performanyc#performance#performanceart#performanceartist#openingreception#marilyn monroe#marilyn#art#artcontemporain#contempraryart
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Kylie Jenner construit une maison pour ses chiens
La star de 'L'Incroyable Famille Kardashian' est déjà occupée avec sa fille de cinq mois Stormi, qu'elle a eu avec son compagnon Travis Scott, mais Kylie n'oublie pas de gâter ses chiens Norman et Bambi, ainsi que leurs chiots. Elle a décidé de leur construire une maison.
La jolie brune de 20 ans s'est servie de son compte Snapchat pour partager un aperçu de la maison avec ses fans. Dans la vidéo on peut l'entendre dire "Hey les gars, ma niche est bientôt finie ! Tellement mignon !"
Kylie est connue pour offrir à ses chiens une vie luxueuse, car Norman et Bambi - ont déjà leur chambre, où figure un lit et une cheminée, dans sa maison en Californie.
Il n'a pas été dit si son autre chiot Penny, qu'elle a reçu de sa meilleure amie Jordyn Woods pour son anniversaire en août 2016, a une chambre séparée ou si Penny habite avec Ernie le petit chien saucisse de Kylie, dans une autre zone de sa grande maison.
Kylie avait refusé de se rendre à la cérémonie des American Music Awards fin 2016, car Bambi devait accoucher, et la star ne souhaitait pas manquer la naissance de ces bébés.
Elle avait tweeté à l'époque: "Pour ceux qui se posent la question, je comptais aller au AMA cette année mais Bambi a accouché donc je suis là et je prends soin de mes chiots."
Puis l'un de ses followers avait voulu savoir si Kylie avait l'intention de les garder, et la jolie brune avait répondu: "Oui je le savais mais je comptais pas élever mes chiens. Il suffit juste d'une fois lol... Oui ils sont trop mignons et c'est une expérience incroyable."
Les chiens de Kylie ont même leurs réseaux sociaux.
This article was from BANG Showbiz and was legally licensed through the NewsCred publisher network. Please direct all licensing questions to [email protected].
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Union man lured into stolen credit card scheme by online girlfriend in Africa
Union man lured into stolen credit card scheme by online girlfriend in Africa
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Police say many of the items purchased with a stolen credit card were shipped in and out of the US. UNION (KMOV.com) – Police in Union, Mo. reported that they discovered a resident who was unwittingly helping a criminal operation where stolen credit cards were used to purchase tens of thousands of dollars in items and then shipped to the man’s home.
Chief Norman Brune told…
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Blog 3: Disposal of E-waste (Environmental issues and health hazards)
The ever increasing consumerism and the disposal of Electronic waste has a significant impact on the global environment and human health, partially in developing countries with little or no legislation to protect its citizens. This blog entry will explore some of these issues.
Corporations in the design and production of technology, practice “planned obsolescence” and “perceived obsolescence”. In other words, technology is “designed for the dump”and the consumer uncritically accepts that (Leonard, Fox, Sachs 2007). Products are manufactured with a limited life expectancy for a consumer who is seduced into the romantic belief that this is where they, and the community will find value (Maxwell, Miller 2012. Leonard et.al. 2007). As a consequence, the disposal of the ever increasing supply of technology is detrimental to all who inhabit our planet. Corporations use developing countries as a dumping ground in order to exploit their lack of Health and Safety legislation. Workers and their families in such countries suffer deleterious health outcomes as a consequence. For example the open burning, mechanical shredding, acid leaching and component separation, as well as solder recovery of toxic waste in China and New Deli. This creates contamination of work and living environments of the inhabitants (Brigden, Labunska, Santillo, Allsopp 2005). Exploration of health outcomes reports that widespread “high informal recycling has been reported in China, Ghana, Nigeria, India, Thailand, the Philippines, and Vietnam” (Grant, Goldizen, Sly, Brune, Neira, Van den Berg, Norman, p.350. 2013). The Lancet 2009 article describes health outcomes, such as adverse effects on lung function, thyroid function and neonatal health.
Environmental reports from Green peace 2005 also show damage to the body tissue and brain development of wildlife through the contamination of bioaccumulative chemicals. Toxicity and contamination to plants is also an issue. For example, toxic substances distributed into the environment through unsustainable disposal practices would include Cadmium (Cd), Lead (Pb), Mercury (Hg) and other classes of flame retardants (Brigden et.al. 2005).
In order for the environmental health hazards to stop, corporations need to increase their responsibility for the manufacture, lifespan and disposal of their products. This would mean using non toxic chemicals, creating the means of easy and efficient repair to decrease the amount of E-waste disposal, and establishing sustainable recycling schemes (Brigden et.al. 2005). The awareness and protesting of these issues are apparent, but it could be argued that change will only occur when corporations benefit from consumers who are willing to pay more for sustainable and fair trade products (Maxwell, Miller. 2012. p.27). The power of consumers is yet unrealised.
Reference:
Brigden, I. Labunska, D. Santillo, & M. Allsopp. (2005, August). Recycling of electronic wastes in China and India: Workplace & environmental contamination (report). Retrieved from Greenpeace International: http://www.greenpeace.org/international/PageFiles/25134/recycling-of-electronic-waste.pdf
Grant, K. Goldizen, F.C. Sly, P.D. Brune, M.N. Neira, M. Van den Berg, M. Norman, R.E. (2013, October 30). Health consequences of exposure to e-waste: a systematic. Lancet Glob Health, Volume 1, pp.350-60. Retrieved from http://ac.els-cdn.com/S2214109X13701013/1-s2.0-S2214109X13701013-main.pdf?_tid=294a9328-8df5-11e7-8a2a-00000aacb35f&acdnat=1504147155_fa25faec013f0e5536238cdb2c6393a7
Leonard, A. Fox, L & Sachs, J (writers). Free Ranged Studios (producers). (2007 December). The Story of Stuff project: Story of stuff [Video file]. Retrieved from http://storyofstuff.org/movies/story-of-stuff/
Maxwell, R. & Miller, T. (2012, April 3). Greening the Media. Oxford University Press, USA. By Lily Gladstone-Gallagher (1298416) Word count: 427 (Note: Apologies for format of APA referencing. It does not paste correctly into Tumblr from my word document)
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Kylie Jenner construit une maison pour ses chiens
La star de 'L'Incroyable Famille Kardashian' est déjà occupée avec sa fille de cinq mois Stormi, qu'elle a eu avec son compagnon Travis Scott, mais Kylie n'oublie pas de gâter ses chiens Norman et Bambi, ainsi que leurs chiots. Elle a décidé de leur construire une maison.
La jolie brune de 20 ans s'est servie de son compte Snapchat pour partager un aperçu de la maison avec ses fans. Dans la vidéo on peut l'entendre dire "Hey les gars, ma niche est bientôt finie ! Tellement mignon !"
Kylie est connue pour offrir à ses chiens une vie luxueuse, car Norman et Bambi - ont déjà leur chambre, où figure un lit et une cheminée, dans sa maison en Californie.
Il n'a pas été dit si son autre chiot Penny, qu'elle a reçu de sa meilleure amie Jordyn Woods pour son anniversaire en août 2016, a une chambre séparée ou si Penny habite avec Ernie le petit chien saucisse de Kylie, dans une autre zone de sa grande maison.
Kylie avait refusé de se rendre à la cérémonie des American Music Awards fin 2016, car Bambi devait accoucher, et la star ne souhaitait pas manquer la naissance de ces bébés.
Elle avait tweeté à l'époque: "Pour ceux qui se posent la question, je comptais aller au AMA cette année mais Bambi a accouché donc je suis là et je prends soin de mes chiots."
Puis l'un de ses followers avait voulu savoir si Kylie avait l'intention de les garder, et la jolie brune avait répondu: "Oui je le savais mais je comptais pas élever mes chiens. Il suffit juste d'une fois lol... Oui ils sont trop mignons et c'est une expérience incroyable."
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Kylie Jenner construit une maison pour ses chiens
La star de 'L'Incroyable Famille Kardashian' est déjà occupée avec sa fille de cinq mois Stormi, qu'elle a eu avec son compagnon Travis Scott, mais Kylie n'oublie pas de gâter ses chiens Norman et Bambi, ainsi que leurs chiots. Elle a décidé de leur construire une maison.
La jolie brune de 20 ans s'est servie de son compte Snapchat pour partager un aperçu de la maison avec ses fans. Dans la vidéo on peut l'entendre dire "Hey les gars, ma niche est bientôt finie ! Tellement mignon !"
Kylie est connue pour offrir à ses chiens une vie luxueuse, car Norman et Bambi - ont déjà leur chambre, où figure un lit et une cheminée, dans sa maison en Californie.
Il n'a pas été dit si son autre chiot Penny, qu'elle a reçu de sa meilleure amie Jordyn Woods pour son anniversaire en août 2016, a une chambre séparée ou si Penny habite avec Ernie le petit chien saucisse de Kylie, dans une autre zone de sa grande maison.
Kylie avait refusé de se rendre à la cérémonie des American Music Awards fin 2016, car Bambi devait accoucher, et la star ne souhaitait pas manquer la naissance de ces bébés.
Elle avait tweeté à l'époque: "Pour ceux qui se posent la question, je comptais aller au AMA cette année mais Bambi a accouché donc je suis là et je prends soin de mes chiots."
Puis l'un de ses followers avait voulu savoir si Kylie avait l'intention de les garder, et la jolie brune avait répondu: "Oui je le savais mais je comptais pas élever mes chiens. Il suffit juste d'une fois lol... Oui ils sont trop mignons et c'est une expérience incroyable."
Les chiens de Kylie ont même leurs réseaux sociaux.
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